Retour au calme envoûtant d'un moelleux fauteuil rouge, siège B28, 3ème étage pour y déconnecter l'esprit consciencieusement installé, orée de chaud séant. Au programme, humilité et conviction, ou encore dans le désordre ... armure, gloire et bonté.
critique du film
Le PARIS de Klapisch mise tout sur l’aventure humaine, la vraie, la sensationnelle, celle qui vous rappelle que la simplicité est un monde où l’on aime y tourner nos scènes du premier clap, avec ou sans regret.
Une partie de cache cache avec l'envie. Une partie seulement !
Acrostiche pour l'un de nos plus grands acteurs, notre Bébel national !
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