Habillé d’une veste et d’un pantalon noir à la couleur passée, d’une chemise blanche froissée et à la propreté douteuse, il évolue dans le cercle de lumière blanche délimité par le pinceau d’une poursuite. Régulièrement il se gratte, plisse la peau de son visage avec des mains énervées, tentant avec elles de recoiffer des cheveux rebelles. Il est pieds nus dans des sandalettes ou des souliers bas...
A une période indéterminée du moyen-âge, pour ne pas entendre ses cris, on a enfermé dans une étable une jeune femme délirante. Pour les autres la vie continue avec ses joies et ses peines