Ses parent l'avaient averti : il était différent, il ne projetait aucun reflet. « Sans », ainsi l'avait surnommé ses parents. Pourquoi ? il ne possédait pas de miroir, terrible malédiction dans un monde, où le miroir reflétait la beauté comme la personnalité de tout individu.
Alceste recueille chez lui un extra-terrestre amoureux d'une Terrienne. Ils attendent, dans la garçonnière de l'homme, que l'on frappe à la porte. Qui entrera ?
«François, moi…et mon corps éparpillé sur le seuil» Une nouvelle de Hayet Errayes (Tunisie) Traduite de l’Arabe par Saïd M. Jendoubi (France) Le marbre de la vieille maison, somnole avec quiétude sous la fraîcheur et le calme d’un toit que les secrets ont fini par rendre opaque. Le soleil aoûtien qui brûlait le patio de la maison, le laissait indifférent. L’enfer était tout près, là,...
Voilà trois sonnets sur des sujets différents, écrits à des moments différents où je ressentais des émotions différentes. Enfin bref, trois sonnets écrits par moi.
Toute épreuve peut être surmontée si l'amour existe. C'est basique et c'est vrai.
Toujours à se plaindre