Par une belle journée d'été, je cheminais, le bâton de voyage à la main, le long d'une des chaussées, qui, d'Anvers, se dirigent vers la Campine. J'étais las de rêver et de jouir du spectacle de la nature ; car la longue route avait fatigué mes membres, et la chaleur étouffante avait émoussé la sensibilité de mon cerveau.
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