Je vous invite à visiter le texte suivant, anonyme et des environs de 1750 qui reste malheureusement très d’actualité. N’hésitez pas à sauter les douzes premières lignes si l’ancien français vous rebute, le reste est plus facile.
« Ces écus-là je les divise en douze,
C’est huit par mois, dont, si je ne me blouze,
Après avoir aquité mon loyer,
Le blanchisseur, l’auberge et le barbier,
Sans faire un sol de depense frivole,
Il ne sçauroit me rester une obole ; »
(Version annotée consultable sur http://www.textesrares.com/poesie/b8_231.htm )
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