Loin, très loin au cœur d’une vallée fertile,
Un dormeur reposait là, tranquille.
Au cœur de la nature, il vit enfin son angélique,
Elle si semblable à une nymphe, si magnifique.
Lui, ferma les yeux et imagina la toucher,
Elle, vint et l’étreignit sans pudicité,
Un suaire limpide les séparait,
Puis plus rien alors ne contint cet imparfait.
Tout à coup, le cri de souffrance s’en alla.
Oublié le lit de douleurs et l’embarras.
Tout cala sombra au bénéfice du bien-être.
Deux cœurs, un Eden, ils s’avéraient enfin être,
Iris renaissants, jamais plus souffrants,
Omis enfin les tourments de l’antan.
inspiré de l'image.... http://iunivers.centerblog.net/
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