Au cours des années 1980, le dirham s'est considéré comme surévalué, par les experts internationaux, en plus le marasme commercial a milité en faveur de l'adoption de cet instrument comme moyen de régulation économique.
Mais l'action par le taux de change a nécessité un ajustage direct et indirect du dirham.
Les retombées de cette politique étaient mitigées.
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