Bon… et bien voilà… finalement j’y étais.
J’étais selon toute vraisemblance tout ce qu’il y a de décédée ; morte, cadavérisée, exempte de corporéité, adios la chair et ses pêchés, nada, plus rien. Enfin… c’est ce qu’il me semblait. En tout cas, selon les critères humains je l’étais bien, corps glacé, cœur arrêté et activité cérébrale à l’avenant. Donc, au premier abord, il n’y avait pas plus intégral que cette mort là.
Pourtant… c’était étrange, Il subsistait comme… un reste de conscience. Apparemment la mort, ce n’était pas aussi simple que ça, ni aussi… radical.
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