Lors d’un dîner, alors qu'il revenait sur les circonstances insolites de leur rencontre, Jacques Truphémus amusé, demanda à l'auteur :
— Vous devriez mettre tout cela par écrit, insinuant ainsi qu’un tel enchaînement d’évènements inédits et cocasses, si improbable et cause de tant de désagrément, qui se termine finalement de façon étonnante et inespérée, pourrait faire l’objet d’un roman. Et il rajouta :
— Vous savez, je crois qu’il n’y a pas de hasard.
Faute de roman, voilà un petit texte légèrement exalté , ou plutôt « une paresse fiévreuse » naturellement éloignée de la « tyrannie actuelle des discours englobants » . La considérer comme thérapie, en lecture ou mieux en réalisation, serait le degré ultime auquel elle pourrait modestement accéder occasionnellement.
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