Hymnes pour le Soleil ou rêveries sur les cycles du temps, prières pour l’âme des animaux, chants de haut vouloir pour deux mystérieux cavaliers : le cavalier rouge et le cavalier bleu… Nulle tiédeur, nulle fadeur. Ces poèmes tour à tour échauffent, embrasent, éclairent, à l’imitation de l’astre solaire, sous le signe duquel ils se placent.
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