Anne-Marie de la Haute Cour, présentée par son employé de maison, Edouard, comme une femme 'pas nette', à la fois dépressive, psychotique et mère ultra-possesive fait face à son destin : son fils va quitter la maison et se marier. Elle acceuille Sandra, la présumée future avec froideur et dédain. Quant au fils, Hubert, sa seule motivation est de se marier pour quitter sa mère qui l'enferme mais également de ramasser une fortune en rapport avec son rang, il quitte sa petite amie, persuadé que l'amour n'est rien. Contrairement à toute attente, sa mère accepte le mariage et lui trouve même une épouse : Marie-Chantal-Bérénice de la Haute Vallée. C'est trop beau pour être vrai, l'épouse est en réalité la fille d'un des plus dangereux maffisos qui soit et se trouve être une spécialiste des mariages-éclair... Henri de la Haute Cour, père d'Hubert tente en vain d'empêcher le mariage, sa femme, durant une crise de folie lui révèle qu'elle a programmé la mort d'Hubert ainsi que sa propre mort avant de se suicider. Hubert, parti quelques minutes plus tôt au Brésil dans un club de vacances dont il est censé être le propriétaire se retrouve par la suite confronté à la mort de sa mère. Ses monologues tragiques sur l'inutile recherche du bonheur seront interrompus par les nombreux intermèdes comiques que réserve le club de vacances et ses animateurs déjantés. Quand le bonheur est sous ses yeux, il finit par le voir, Sandra est arrivé au club de vacances sous un déguisement et ils passent leur première nuit d'amour ensemble, ce qui déclenche le lendemain les soupçons incontrôlés de l'épouse maffieuse qui mènera son enquête. Le plan était de le perdre dans la forêt amazonienne pour le tuer ensuite et ainsi lui faire vivre sa tragédie jusqu'au bout. Mais tout cela est sans compter sous les multiples coups de chance ou de malchance qui influence le pseudo-destin de ces personnages, tragédie ou comédie, qu'on se fasse une idée car en effet le débat reste ouvert.
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