Si la solitude est salutaire de temps en temps, elle ne l'est que si son instant de gloire ne dure ...
que ce que durent les roses : c'est-à-dire le temps du désir,
... ou même, peut-être, souvent, le temps juste de... se faire désirer.
Ces quelques textes, que je préfère appeler 'oses', parce qu'ils vagabondent sans ordre ni code entre odes et prose, tentent de montrer comment les mots peuvent nous aider à nous désisoler.
Et comme ces mots, depuis le temps qu'ils nous supportent ont perdu l'innocence de leurs premières plumes, au passage, ils osent nous dire en guise de poste-conclusion à propos de l'Amour, que si celui-ci est à même d'être très amène, il ne le reste que tant qu'il peut évoluer librement.
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