(la traduction est finie, il reste à corriger les erreurs) Il y a quelques années, j'achetai un calepin rédigé en anglais dans un marché aux puces en Belgique. Il a traîné quelque temps, puis pensant qu'il avait quelque valeur, je l'ai proposé à l'ambassade britannique, qui n'a pas parue très intéressée. Finalement, j'ai décidé de retrancrire ce témoignage émouvant d'un citoyan anglais travaillant en Belgique, près de Bruxelles. J'espère lui avoir redonné quelque vie.
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