« Un peu plus sur Baudelaire une prochaine fois. » C’est ce que j’avais écrit à la fin de mon texte sur ce poète, dans ma dernière publication. Je ne croyais pas poursuivre ce projet si rapidement, mais un défi personnel et très gentil en fin de compte, celui de Mélanie Nilles, dont j’ai appris qu’elle était une musulmane par conversion, ma donné un coup de pouce. Je vous présente donc ce qui suit : (gardez à l’esprit cependant, comme certains parmi vous le savent déjà, que je ne suis pas un connaisseur, c’est-à-dire un docteur. N’est-ce pas Mélanie qui s’exclamait : « Mais qui suis-je pour parler ainsi de Baudelaire? » m’adressant ce reproche. Et ce n’est que Baudelaire! Que dire si je questionnais l’intégrité de l’ange Gabriel? (Elle a quelque chose d’auto destructive, cette Mélanie, c’est sans doute pour cela qu’elle est pâmé d’admiration pour Baudelaire.)
En outre, devrais-je préciser, je lis rarement de la poésie. Je m’intéresse si peu aux spéculations et aux divertissements des hommes que je n’éprouve pas d’intérêt, si ce n’est quelque curiosité des fois, pour leurs œuvres. Tautologie : c’est donc mon opinion que voici et que vous pourrez tout au moins comparer à la vôtre:
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