Écoutant les propos d’une amie qui souffre de dépression dû au surmenage, l’image d’Iraniens en train de frapper à répétition leurs corps ensanglantés par des coups acérés me vient à l’esprit. C’est leur Noël. Chacun son indispensable croix. Nécessaire, diront les adeptes de la vaccination par le mal lui-même.
Connectez-vous pour laisser votre commentaire