Que ce soit un effet de mode ou un effet d'une réelle prise de conscience, le développement durable, et principalement son volet écologique, se fait sa place dans la vie quotidienne et la vie politique. Nouvelles contraintes, nouvelles exigences, nouveaux objectifs, nouvelles volontés et, souhaitons-le, nouvelles habitudes. L'impact de ces données sur les coûts de production est-il inévitable ? Sauver la planète se réduit-il donc à l'utilisation du porte-monnaie ? Si tel est le cas, qui devrait payer l'écologie et qui la paie réellement ?
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