D.Rayan 
Lieutenant de police non apprécié à sa juste valeur et mis au placard par une bande en costards de voyous et aux mains de diables.
Dans les annales de la police algérienne, je suis, peut-être, le seul à avoir botté le c... à quatre magistrats : Deux juges d'instruction, un procureur de la république et l'adjoint du procureur en sus de deux barons qui ont fait main basse sur les deniers publics. Il s'agit de Beradi Laid et du fameux Achour Abderrahmane Riad dont la presse a fait écho. J'aurai pu être immensément riche si j'avais aussi un costard et des mains expertes d'un voyou. Mais, je constate que je ne suis pas aussi paumé que je le craignais et je m'en réjouis... De toute façon, je relaterai dans les détails ces deux scabreuses affaires de gros sous dans 'Mémoires d'un lieutenant de police', deux sordides affaires qui ont fait un héros malgré moi.
Ça, c’est pour l’histoire.
En ralliant cet espace, c'est surtout pour m'instruire. Je n'ai pas fait de la littérature, alors je ne me targue d’être écrivain. Mais, je trouve que rien ne m’est plus agréable que de pouvoir pianoter sur mon clavier pour exprimer sincèrement mes sentiments. Ce faisant, je balaie de petits nuages pour laisser passer quelques rais de lumière et allumer dans mon cœur un rayon de joie. Je découvre que c’est mieux que d’avoir un colt à la main. Et c'est merveilleusement bien !
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Memoires d'un lieutenant de police
de D. Esserhane - il y a 8 ans - 33 574 lecturesOn ne naît pas policier, même si on venait de voir le jour sous le signe de la balance. Mais, on peut le devenir avec le temps, si on est motivé et pour peu qu'on observe certaines valeurs humaines, dont l’intégrité, la droiture et l’attachement aux devoirs de la justice et de la morale. Un bon policier, c’est aussi l’aboutissement d’un travail ordonné de longue haleine au cours duquel, seront...
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