Il est bien difficile de se raconter rapidement et en quelques phrases sur un profil public. L’exercice me semble bien délicat mais allons-y !
Aussi, je ne prétends pas à l’excellence au travers de mes écrits. Car tout écrit reste toujours en devenir, au fur et à mesure que son auteur le relit, l’annote, l'amende, le rature.
Tel est l’avis que je peux fournir à mon estimé lecteur.
Finalement, je ne suis juste qu’un modeste citoyen qui adore noircir les pages blanches d’un cahier depuis sa plus tendre enfance. Pour présenter mes écrits et vaincre ma timidité littéraire j’ai donc pris un pseudonyme symbolique à mes yeux. Euskadie Beaudelaire. Comme si l’âme de l'auteur des Fleurs du mal (écrivain que j'estime, on s'en douterait !) plane encore et me suit partout dans cette région du Pays Basque que j'affectionne tout particulièrement.
Par ailleurs, j’aurai une tendresse particulière pour les enseignants (maîtres et professeurs) que j’ai eu au cours de mon cheminement scolaire. Un remerciement et une salve d’applaudissement pour ces hommes et femmes de la véritable École Républicaine qui ont su me faire aimer notre langue. J'attache aussi une grande importance à la culture en générale, celle de notre pays plus précisément, car j'aime sa beauté linguistique, qui se décline par des idiomes locaux au travers des us et coutumes de nos magnifiques régions. J'apprécie finalement toute forme de littérature avec ses auteurs divers et variés, toute cette richesse qui fait que nous appartenons à une communauté de destin, au sens noble du terme.
Aujourd’hui je souhaite partager cette passion de l’écrit dans le respect et la cordialité. Juste quelques mots par passion et non par « Ennui », Et si d’aventure une entorse à l'orthographe, à la grammaire se produit au travers de ces textes, que le lecteur en excuse son auteur.
Voilà ce que je veux offrir aux amoureux des mots, car « Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat mon semblable, mon frère ! »,
Charles BAUDELAIRE, (1821-1867), les Fleurs du Mal, dans « Au lecteur (1857) »,
Merci par avance de votre attention.
Conte pour les gosses que nous étions.
Ce conte moderne est à la mémoire de chaque enfant violenté, martyrisé, maltraité. Comment peut-on faire du mal à un gosse ?. Si, comme aimait à le dire Michel Colucci 'il y a des gens qui ont des...